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17 phrases à ne plus jamais dire aux enfants

Dans le kaléidoscope émotionnel qu’est la parentalité, chaque mot prononcé porte en lui le poids de construire ou d’éroder l’estime de soi chez nos enfants. Il est facile, dans le tourbillon des responsabilités quotidiennes, de laisser échapper des paroles sans mesurer leur impact profond sur ces petites âmes en développement.

Cet article se veut un phare, guidant les parents vers une communication qui nourrit la confiance, l’autonomie et l’assurance chez leurs enfants, tout en évitant les écueils des mots qui blessent, volontairement ou non.

Il y a quelques années, au parc, j’ai été témoin d’une scène qui m’a profondément marquée. Un petit garçon, les genoux écorchés, pleurait tandis que son père, visiblement mal à l’aise face aux larmes, lui lançait un “Sois un homme !”. Le silence qui a suivi cette réprimande était plus bruyant que les pleurs de l’enfant. Cet instant a été pour moi un déclic. J’ai réalisé à quel point nos réactions instinctives, modelées par notre propre éducation et la société, pouvaient influencer la manière dont nos enfants se perçoivent et gèrent leurs émotions. Cela m’a poussée à réévaluer ma façon de communiquer avec mes propres enfants, en cherchant des alternatives qui soutiennent leur bien-être émotionnel. Les Phrases à Éviter et Leurs Alternatives

« Un grand garçon, ça ne pleure pas ! »
Cette phrase perpétue la stigmatisation des émotions chez les garçons, suggérant qu’il est inacceptable de montrer de la vulnérabilité. **Alternative :** “Je comprends que tu as eu peur…”

« Attention, tu vas tomber ! »
Bien intentionnée, cette mise en garde peut cependant instiller un manque de confiance en leurs capacités. **Conseil :** Encouragez la prudence de manière constructive, en guidant plutôt qu’en avertissant.

« Regarde ta sœur, elle y arrive bien, elle ! »
Comparer les enfants entre eux peut miner leur confiance et encourager la rivalité. **Contexte positif :** Soulignez les forces uniques de chaque enfant et encouragez les efforts personnels.

« T’es bête ou quoi ? »
Cette question rhétorique, souvent prononcée dans un moment de frustration, peut blesser profondément. **Alternative :** “Peut-être n’avons-nous pas encore trouvé la meilleure façon de l’expliquer.”

« Tu manges comme un cochon ! »
Critiquer les manières de table d’un enfant de manière dégradante affecte son image de soi. **Conseil :** Guidez avec patience et montrez l’exemple de bonnes manières à table.

« Ne reste pas planté là comme un idiot ! »
Ce reproche ne tient pas compte du rythme et de la curiosité naturelle de l’enfant. **Alternative :** “Que penses-tu de ce que tu observes ? Partageons ensemble.”

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