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Héritage : chaque année, de nombreux Français échappent aux frais de succession en adoptant cette stratégie. Pourquoi ne pas faire de même ?

Recevoir un héritage devrait être une chance… mais en France, cela peut vite devenir un casse-tête fiscal. Les droits de succession figurent parmi les plus élevés d’Europe, et leur montant ne cesse d’augmenter. En 2022, l’État a collecté 17,5 milliards d’euros, soit une hausse de 120 % en 12 ans.

Le problème ? Cette fiscalité impacte fortement les familles, y compris celles ayant un patrimoine modeste. Selon l’Observatoire des inégalités, 87 % des successions concernent des montants inférieurs à 100 000 €, mais elles restent souvent soumises à une taxation significative.

Alors, comment éviter à vos héritiers de payer une note trop salée ? La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des solutions simples et légales pour réduire, voire supprimer totalement ces frais. Et c’est précisément ce que font de nombreux Français avertis…

L’astuce utilisée par de nombreux particuliers pour alléger les frais de succession

Plutôt que d’attendre son décès pour transmettre un bien immobilier, beaucoup choisissent d’anticiper la succession en réalisant une donation de leur vivant.

L’une des techniques les plus efficaces consiste à céder la nue-propriété d’un bien immobilier à ses enfants, tout en conservant l’usufruit. Concrètement, cela signifie que :

  • Les parents restent usufruitiers : ils peuvent continuer à vivre dans le logement ou le louer et en percevoir les revenus.
  • Les enfants deviennent nus-propriétaires : ils récupèrent la pleine propriété sans payer de droits de succession au décès des parents.

Pourquoi cette stratégie est avantageuse ?

  • Au moment du décès, les enfants récupèrent automatiquement la pleine propriété, sans frais supplémentaires.
  • Les droits de donation sont calculés uniquement sur la valeur de la nue-propriété, qui est inférieure à celle du bien en pleine propriété.
  • Cette transmission permet d’optimiser la fiscalité en bénéficiant d’abattements (100 000 € par parent et par enfant, renouvelables tous les 15 ans).

Autre option : Certains parents choisissent d’acheter un bien directement au nom de leurs enfants, tout en conservant l’usufruit à vie.

Cette méthode est totalement légale et largement recommandée par les notaires pour réduire la taxation excessive des successions.

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