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Alzheimer : ces médicaments du quotidien qui augmentent le risque de développer la maladie

 

Et si un traitement que vous prenez régulièrement, sans y prêter attention, pouvait nuire à votre cerveau ? De récentes recherches mettent en lumière le rôle inquiétant de certains médicaments dans l’augmentation du risque de développer la maladie d’Alzheimer. Un signal d’alarme à ne pas ignorer.

🧠 Une maladie en pleine expansion

Aujourd’hui, près d’un million de personnes en France vivent avec Alzheimer ou une autre forme de démence. Cela représente environ 8 % des plus de 65 ans, et une personne sur six après 80 ans. Et avec le vieillissement de la population, les projections annoncent un doublement du nombre de cas d’ici 2050.

Dans ce contexte, chaque facteur de prévention est essentiel. Or, un danger souvent négligé pourrait bien se cacher dans un endroit inattendu : votre armoire à pharmacie.

💊 Des médicaments courants mis en cause

Plusieurs études scientifiques récentes alertent sur certains traitements utilisés fréquemment et sur le lien entre leur usage prolongé et le risque accru de démence.

1. Les anticholinergiques : des effets invisibles mais redoutables

Ces médicaments sont utilisés pour traiter des troubles variés : incontinence, allergies, dépression, douleurs intestinales ou même Parkinson. On les retrouve dans des traitements très répandus comme la diphenhydramine (Benadryl) ou l’oxybutynine.

🔍 Une étude publiée dans JAMA Internal Medicine a révélé que les personnes exposées à ces médicaments pendant plusieurs années présentent un risque accru de démence de 49 %. Plus la dose est élevée et le traitement long, plus le risque augmente.

👉 En clair : une prise ponctuelle ne pose pas de danger, mais une consommation prolongée peut lourdement impacter le cerveau.

2. Les benzodiazépines : somnifères et anxiolytiques à double tranchant

Très prescrites en France, les benzodiazépines (Xanax, Temesta, Lexomil, Valium…) sont utilisées pour lutter contre l’anxiété, les troubles du sommeil ou les tensions nerveuses.

Mais leur usage chronique n’est pas sans conséquences. Une méta-analyse rassemblant près d’un million de patients a mis en lumière un risque de démence augmenté de 50 %, surtout chez les personnes âgées ayant pris ces médicaments plus de trois mois.

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