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Alain Delon : stupeur ce matin, la famille annonce que son cercueil sera recouvert de… « c’était son dernier souhait »…

Parmi les invités qui ont fait le déplacement, on peut notamment mentionner, Alain Terzian, Thierry Frémaux, Rachida Dati, Valérie Pécresse , les soeurs Sarah et Marie Poniatowski, Paul Belmondo ou encore Vincent Lindon, qui a lu un texte écrit par ses soins durant la cérémonie.

L’actrice Nicole Calfan a, elle aussi, été conviée. Amie de longue date d’Alain Delon, elle l’avait rencontré en 1970 sur le tournage de Borsalino, le premier film qui a réuni Alain Delon et Jean-Paul Belmondo. Depuis, les deux acteurs n’ont jamais cessé de cultiver leur amitié au fil des décennies et c’est tout naturellement que Nicole Calfan était donc présente aux obsèques.

Elle s’est confiée sur ces dernières ce lundi 26 août sur CNEWS en veillant à ne pas trop en dire pour respecter la mémoire de son cher ami. “Ça a été des obsèques incroyables, tellement dignes et on se serait crus à l’enterrement d’un grand parrain en Sicile avec toute la beauté que ça comporte, avec toute la ferveur, avec toutes ces fleurs blanches partout et son cercueil noir. C’est tout ce que je pourrai dire…”, a-t-elle commencé par détailler. Et de rappeler : “La liste des gens qui y étaient Pascal, vous la connaissait comme moi”. “Ce que je peux dire c’est qu’il y a eu tellement d’amour, de complicité et comme l’a dit Anthony, tous les gens qui étaient là était vraiment les amis d’Alain“, a repris Nicole Calfan.

Les fans au rendez-vous pour dire adieu à Alain Delon
“On savait pourquoi on était là et on avait tous été aimé d’une façon différente parce qu’Alain avait des codes d’amour et ces codes se sont appliqués toute notre vie d’une manière différente”, a poursuivi l’actrice. Son lien avec Alain Delon a toujours été particulier et elle l’avait d’ailleurs qualifié de “grand amour platonique”. “Il m’appelait ma mascotte, mon ange, mon amour”, s’est souvenue Nicole Calfan dans les colonnes de nos confrères du Parisien. Et de se souvenir lors de ses séjours à Douchy : “Il m’emmenait jusque dans ma chambre pour me coucher et m’embrassait sur le front”.

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