“Au Japon, le hasard a fait que nous nous sommes retrouvés tous les deux dans le jury du Tokyo Music Festival. J’ai vu qu’il connaissait ce métier au plus haut niveau et que nous étions complémentaires. Un vrai coup de foudre !”, a-t-elle ajouté. Par la suite, la chanteuse a expliqué ce que Tony Scotti lui a apporté tout au long de ces années. “Je me suis toujours sentie épaulée, conseillée à ses côtés. Et cela dure depuis 40 ans. Tony est quelqu’un de flamboyant. Tout sauf tiède, et en même temps discret à sa façon. Discrétion qui vient du fait qu’il a confiance en lui. Il a fait tellement de choses dans sa vie qu’il n’a rien à prouver à personne, il est en paix avec lui-même. Il émane de lui une force et un côté apaisé que tout le monde ressent”, a expliqué Sylvie Vartan. La musicienne a aussi révélé durant cet entretien qu’elle a pris la décision de le laisser gérer son héritage. “Comme nous avons les mêmes idées sur le sujet, j’ai confiance en lui”, a-t-elle déclaré.
Je n’éprouve que du respect et de la peine pour Johnny Hallyday
Egalement interrogé par Paris Match, Tony Scotti a notamment révélé qu’il avait appris à connaître Johnny Hallyday lorsque ce dernier s’est installé aux États-Unis en 2007. “Je le considérais comme un petit frère. (…) On échangeait souvent sur le métier. Il adorait que je lui raconte mes histoires sur les artistes qu’il admirait”, a souligné le mari de Sylvie Vartan. Tony Scotti s’est également exprimé sur la guerre qui a éclaté autour de l’héritage de Johnny Hallyday après sa mort. “Il était vulnérable. Je ne suis pas certain qu’il ait toujours su quelles étaient les bonnes décisions à prendre, notamment sur les questions d’héritage. Mais je n’éprouve que du respect et de la peine pour lui”, a-t-il conclu.
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