FRANÇOISE HARDY ADORAIT LA MUSIQUE
« Elle adorait ça. Elle pensait que c’était un art majeur et qu’il fallait être la meilleure. Mais elle était trouvée qu’elle n’était pas la meilleure. Elle a été élevée par sa maman, une femme assez sévère et sauvage : son modèle, c’était ça », a-t-il révélé.
ENTRÉE LIBRE
UNE FEMME SANS CONCESSION
Et d’ajouter : « Elle était sans concession, d’une frontalité extrême, même avec ses proches. Quand moi j’allais la voir, elle avait toujours la petite phrase qui tape, qui fait un peu mal.
ENTRÉE LIBRE
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