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Guerre nucléaire : les deux seuls refuges vraiment sûrs, selon un expert

L’hémisphère sud : un refuge oublié ?

Cette étude rejoint les conclusions d’autres chercheurs, notamment du Global Sustainability Institute (Cambridge), qui estiment que les pays de l’hémisphère sud — éloignés des principales zones de tension — sont les mieux placés pour traverser une crise nucléaire.

En revanche, les régions comme l’Europe, l’Amérique du Nord ou l’Asie verraient leurs systèmes agricoles s’effondrer de plus de 90 % dans les scénarios les plus pessimistes.

Une nouvelle approche de la sécurité mondiale

Si la probabilité d’un conflit nucléaire total reste faible, les tensions actuelles ont déjà des conséquences concrètes : hausse des budgets militaires, essor de l’industrie de la défense, et montée en puissance des investissements dans l’armement.

La “thèse de défense” attire même certains investisseurs, qui misent sur des actions comme Dassault Aviation, Raytheon ou Lockheed Martin, ou sur des ETF spécialisés dans la sécurité.

Mais au-delà des stratégies financières, cette étude offre une leçon précieuse : la survie ne dépend pas forcément de la force militaire. Elle dépend de la capacité à s’adapter, à vivre en autonomie, et à protéger ses ressources.

Conclusion : la survie passe par la discrétion et la résilience

Alors que les grandes puissances s’arment jusqu’aux dents, deux nations modestes sur le plan militaire pourraient bien représenter les derniers bastions de l’humanité.

La Nouvelle-Zélande et l’Australie, sans arsenaux nucléaires, mais riches d’un capital naturel et humain exceptionnel, nous rappellent que face aux pires scénarios, les vraies richesses sont la stabilité, la préparation… et la paix.

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