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Indochine pas contacté pour les JO de Paris 2024, mais pas fâché : “Nous avons eu la décence de ne pas en parler !”

Lors des cérémonies d’ouverture et de fermeture des Jeux olympiques de Paris 2024, de nombreux artistes ont défilé devant des milliers de spectateurs. Mais un groupe français iconique n’a pas été convié pour participer au spectacle : Indochine. Il se confie sur ce sujet.

C’était un spectacle très attendu. Lors des Jeux olympiques de Paris 2024, les cérémonies d’ouverture et de clôture ont offert de magnifiques spectacles au public présent et aux téléspectateurs. Parmi les nombreux artistes qui ont défilé lors des deux événements, on retrouve Céline Dion, Gojira, Lady Gaga, Air ou encore Phoenix. Mais un groupe français iconique n’a pas été contacté pour performer lors du spectacle. En effet, les membres d’Indochine, artistes mythiques des années 1980, étaient absents. « On n’a pas reçu le bristol », ironise Nicola Sirkis au Parisien. « On ne fait pas partie de ce club parisien, France Inter, Télérama. Je pense qu’ils n’ont même pas pensé à nous ». Mais le leader du groupe n’est pas vexé pour autant. « Mais vous aurez remarqué que nous avons eu la décence de ne pas en parler comme certains de nos collègues… », ajoute le chanteur, faisant référence aux déclarations de David Guetta qui a été étonné de ne pas être sollicité pour la cérémonie d’ouverture.

Mais l’absence d’Indochine à l’événement n’a pas pour autant empêché Nicola Sirkis de profiter des Jeux olympiques de Paris 2024. « J’ai été ravi de ces Jeux olympiques, j’ai vu plusieurs épreuves avec mes enfants, j’ai acheté mes places », raconte-t-il au quotidien français. « C’était extraordinaire. Et pendant la cérémonie d’ouverture, il y a des choses que j’ai adorées, d’autres un peu moins. Gojira, c’était fou ». Il ajoute notamment qu’il avait aussi eu la chance de jouer avec la Garde Républicaine, comme Aya Nakamura, lors d’un concert à Lille. « J’ai contacté les responsables de la Garde Républicaine en leur demandant s’ils voulaient venir sur scène avec nous au stade Pierre Mauroy », explique Nicola Sirkis. « Ils étaient super emballés. Ils ne se disent pas : ‘Non, on ne va pas jouer avec un groupe de rock, ou une chanteuse de couleur’ ».

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