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Le Royal Mansour Casablanca fait peau neuve : on file (re)découvrir la Ville Blanche

En redonnant vie à un palace emblématique des années 50, la collection Royal Mansour remet Casablanca au top des destinations touristiques. L’occasion de (re)découvrir l’histoire, les quartiers et autres trésors cachés de la capitale économique du Maroc.

Quand on parle de “vacances au Maroc”, on pense illico à Marrakech, son souk, ses riads, son soleil si recherché des européens. Et pourtant, ce n’est pas le seul trésor du pays. Atypique et tout aussi intéressante, Casablanca – surnommée la Ville Blanche – s’impose comme une escale urbaine parfaite avant l’option transat-piscine. Une ville sous les feux de la rampe depuis la réouverture de l’ancien hôtel Le Mansour, premier 5 étoiles de ville construit dans les années 50.
Pionnier dans l’hôtellerie de luxe à Casablanca, cet hôtel légendaire retrouve ses lettres de noblesse en 2024 après une métamorphose totale intégrant la chiquissime Collection Royal Mansour. A l’époque, l’hôtel accueille la jeunesse dorée de Casa, mais aussi célébrités, musiciens, stars de cinéma ; Mohammed Ali, Charles Aznavour, Johnny Halliday, Sean Connery… avant de fermer il y a une dizaine d’années.

L’art déco en majesté

Cyrille Robin

Exit les 9 étages de l’ancien hôtel. Après 8 ans de travaux titanesques, le Royal Mansour Casablanca se déploie sur 23 étages et met à l’honneur le style moderniste des années 50 et l’Art-déco, si emblématique de l’histoire de la ville. “A partir de1920, les français installés à Casa ne voulaient pas vivre dans des maisons de style mauresque. Ils souhaitaient de grandes fenêtres, des balcons, des lignes plus franches, comme à Paris ! Ainsi est né le quartier du Petit-Paris”, explique Nahima, guide touristique. Dès le lobby, les uniformes des grooms donnent le ton. Partout, des volumes majestueux, des lignes douces où marbre, bois et laiton rappellent le glorieux passé du palace. Avec une touche en plus : la modernité. En témoignent les 600 œuvres d’art contemporain exposées dans tout l’hôtel. Ou au rez-de-chaussée, le paludarium géant ou encore ces 600 silhouettes de poissons en cristal de Bohême qui virevoltent dans les airs, suspendus par 3000 tiges de fibre de verre et illuminés par 149 lucioles pour rappeler les 149 clés de l’hôtel.

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