ADVERTISEMENT

ADVERTISEMENT

ADVERTISEMENT

Les derniers mots d’un matador avant son décès font froid dans le dos

Juste avant de mourir, ce matador a prononcé une phrase que personne n’oubliera. Des mots glaçants… captés en direct, au cœur de l’arène. Une lettre d’adieu prémonitoire a également été trouvée après son décès.

Ils sont des figures presque mythiques en Espagne, porteurs d’un art ancestral mêlant bravoure, esthétique et prise de risque extrême. Les matadors ne dansent pas avec la mort : ils la défient, l’affrontent, la provoquent. Mais parfois, c’est elle qui gagne.

Le 17 juin 2017, à Aire-sur-l’Adour, dans le sud-ouest de la France, la corrida tourne au drame. Iván Fandiño, l’un des matadors les plus respectés de sa génération, tombe. Littéralement.

Devant des centaines de spectateurs figés par l’horreur, il est violemment encorné par un taureau d’une demi-tonne, en pleine arène. Le sang, les cris, l’agitation… Et puis, le silence.

Ce jour-là, la tradition millénaire s’est heurtée à sa propre brutalité. Et le monde entier a assisté, sidéré, à la fin tragique d’un homme qui vivait au rythme des passes, du sable et des cornes.

Mais ce n’est pas seulement l’image du matador gisant au sol qui a marqué les esprits. Ce sont aussi ses derniers mots, glaçants, murmurés entre deux souffles, qui hantent encore ceux qui les ont entendus.

Il tombe au sol, le taureau ne lui laisse aucune chance
Tout commence comme une journée de corrida classique. Iván Fandiño, 36 ans, est en pleine saison taurine. Il est père de famille, originaire du Pays basque espagnol, et torero professionnel depuis plus d’une décennie.

Il est connu pour son audace, sa maîtrise, mais surtout pour sa propension à affronter des taureaux que d’autres matadors jugent “trop dangereux”.

Alors qu’il exécute une série de passes appelées chicuelinas, sa cape s’emmêle sous ses pieds. Il trébuche. L’instant est fatal. Le taureau, nommé Provechito, ne perd pas une seconde : il se retourne, charge, et encorne Fandiño violemment dans le dos.

La corne pénètre profondément. Elle transperce les poumons, l’estomac. Il est projeté au sol, puis traîné. Les assistants accourent. Il est conscient, mais la douleur est insoutenable.

Le public est sous le choc. Il faut faire vite.

Les derniers mots du torero qui font froid dans le dos
Alors qu’il est évacué précipitamment hors de l’arène, Iván Fandiño lutte pour respirer. Le sang jaillit, les minutes comptent.

Les témoins racontent que ses paroles sont claires, tranchantes comme une lame : « Dépêchez-vous, je suis en train de mourir. »

Selon un autre récit rapporté par son collègue Thomas Dufau, Fandiño aurait également murmuré : « Je sens que mon corps s’en va. »

Des mots lourds, empreints de lucidité et de désespoir, qui figent les visages autour de lui. Transporté en urgence vers l’hôpital Layné de Mont-de-Marsan, il subit deux arrêts cardiaques en route.

Malgré les efforts des médecins, Iván Fandiño meurt à son arrivée. Il avait 36 ans.

Le plus troublant : Une lettre d’adieu prémonitoire a été retrouvée chez lui. On vous en dit plus juste après.

lire la suite en page suivante

ADVERTISEMENT

ADVERTISEMENT

Laisser un commentaire