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L’homme qui affirme avoir vu la preuve que la mort n’est pas la fin dévoile les sept niveaux de l’au-delà

« On pense souvent à la mort comme à une fin. Mais si ce n’était qu’un passage ? Et si l’âme, après avoir quitté le corps, poursuivait son chemin à travers d’autres mondes ? » C’est l’étrange et troublante question qu’a explorée un homme hors normes. Ni un gourou, ni un mystique de pacotille, mais un universitaire britannique du XIXe siècle : Frederic William Henry Myers. Sa vision, transmise au fil du temps, a intrigué l’auteur Chris Carter, qui en a tiré un livre à la fois captivant et déconcertant : The Case for the Afterlife.
Myers, mort en 1901, a décrit ce qu’il affirme être son vécu de l’après-vie. Et selon ses récits, l’âme ne se contente pas de flotter dans un nuage éthéré : elle avance, étape par étape, à travers sept plans de conscience ou d’existence. Voici un aperçu de ce périple unique.

La Terre, notre point de départ

C’est ici, dans notre monde matériel, que tout commence. La vie sur Terre serait le premier « avion », un peu comme la première marche d’un grand escalier céleste. C’est là que l’âme s’ancre, expérimente, apprend… et finit par s’en détacher.

Un sas de repos entre deux mondes

Imaginez une salle d’attente paisible, à la frontière de l’ici-bas et de l’au-delà. Ce deuxième niveau, parfois appelé « Hadès » (sans lien avec l’enfer des mythologies classiques), serait un lieu de repos temporaire. Pour certains, comme les enfants, ce passage est rapide. Pour d’autres, il peut durer plus longtemps.

Myers, par exemple, y aurait séjourné après une mort survenue en Italie. Il parle d’un lieu calme, fait d’ombres apaisantes et de silence régénérant. Une sorte de parenthèse pour recharger l’âme.

Une copie imparfaite de la Terre

Ici, on vit comme sur Terre… mais sans le corps. Un univers façonné par l’imaginaire et les souvenirs. Certains y retrouvent leur maison, leur routine, presque comme dans un rêve lucide. Mais attention : ce niveau comporte aussi des zones sombres.

Ceux qui ont mené une vie centrée sur eux-mêmes, sans compassion ni générosité, y vivent dans des espaces ternes, froids, sans enfants ni lumière. Ce n’est pas une punition imposée, mais un reflet de l’état intérieur. Et on en sort… dès qu’on est prêt à changer.

L’entrée dans le vrai « ciel »

C’est ici que Myers dit avoir réellement commencé à comprendre l’au-delà. Des couleurs jamais vues, des sensations nouvelles, tout y est plus intense. Ce monde céleste marque une rupture avec les plans précédents : l’âme commence à percevoir une réalité plus vaste, moins humaine et plus spirituelle.

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