Le feu de la transformation
Appelé « plan de la flamme », ce niveau est celui du dépouillement. L’âme y brûle symboliquement ses dernières attaches terrestres. Comme un feu de cheminée qui nettoie sans détruire. Ce n’est pas douloureux, mais libérateur.
La fusion avec la lumière
À ce stade, la personne n’existe plus sous forme humaine. Elle devient lumière, pensée pure. Une conscience dépouillée de toute individualité, baignée dans ce que certains décrivent comme « l’esprit du Créateur ». Myers n’a pas atteint ce niveau, mais aurait reçu des témoignages d’autres âmes plus avancées.
L’approche du divin
C’est le sommet du voyage. Mais pas celui que les religions traditionnelles décrivent. Pas de trône, pas de Dieu à barbe blanche, pas de chœur d’anges. Juste une proximité indicible avec le Divin, au-delà des mots et des formes. Selon Carter, l’enfer n’est pas un lieu où l’on souffre par punition, mais un état intérieur que l’on crée soi-même. Le paradis n’est pas une récompense, mais une élévation progressive.
Une vision qui fait réfléchir
Bien sûr, tout cela n’est pas une vérité scientifique. Mais que l’on soit croyant ou non, l’approche de Myers a le mérite de bousculer nos représentations. Plutôt qu’un jugement brutal, il décrit un processus d’évolution, lent, subtil, fait de lumière et de choix personnels.
Et si l’au-delà n’était pas une fin, mais une nouvelle école ? Une école où l’âme, comme un élève studieux, apprend à devenir un peu plus divine, à chaque étape…
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