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Mougins : les français en colère, le chauffeur qui a écrasé le gendarme était en…

Jérôme Juhel, un de ses collègues proches, son “frère d’armes”, a témoigné auprès de TF1 et fait des confidences bouleversantes. Il a souligné à quel point Éric Comyn était enthousiaste à l’idée de prendre sa retraite. “Il avait décidé de se poser et de profiter de ses enfants et de sa famille”, a-t-il confié. Son camarade de travail a également rappelé que le gendarme était une personne posée, calme et respectée par tous ceux qui le connaissaient. Même après sa retraite, Éric Comyn souhaitait rester actif au sein de la gendarmerie en tant que réserviste, un signe de son engagement indéfectible pour sa communauté.

Solidarité et hommages après la disparition du gendarme

Depuis l’annonce du décès tragique de l’adjudant Éric Comyn, un élan de solidarité et de soutien a émergé de toutes parts. Le général d’armée Christian Rodriguez, directeur général de la gendarmerie nationale, a exprimé ses condoléances à la famille de la victime, soulignant la perte immense pour la gendarmerie. La mairie de Mandelieu-la-Napoule a rapidement réagi en mettant les drapeaux en berne, un geste symbolique pour honorer la mémoire du gendarme disparu. Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a également pris la parole pour rendre hommage à Éric Comyn, en déclarant : “Il est mort parce qu’il faisait son métier pour nous protéger et arrêter un chauffard”.

Les citoyens, bien que souvent anonymes, ont, eux aussi, exprimé leur peine et leur solidarité. De nombreuses personnes se sont rendues devant le peloton de gendarmerie de Mandelieu-la-Napoule pour déposer des fleurs, une manière pour eux de rendre hommage à un homme qu’ils n’ont peut-être jamais rencontré, mais dont la disparition les a profondément touchés.

 

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