On dit que l’absence rend le cœur plus tendre… Mais qu’en est-il de l’abstinence ? Renforce-t-elle le corps, l’esprit, ou même… certaines parties bien précises ? Ce vieux débat, souvent alimenté par des récits sur les réseaux sociaux, mérite qu’on y regarde de plus près. Une étude scientifique peu connue, relayée par des experts, éclaire enfin ce sujet épineux. Alors, mythe ou réalité ? Accrochez-vous, les révélations pourraient bien vous surprendre…
Abstinence masculine : des effets plus profonds que prévu
Sur les réseaux sociaux, les avis divergent. Certains mettent en garde contre les fameux « douleurs testiculaires » alors que d’autres vantent les vertus presque miraculeuses de la rétention de sperme. Face à cette cacophonie numérique, un expert, Geoffrey Whittaker, s’est penché sérieusement sur la question, appuyé par l’analyse du docteur Mike Bohl.
Mais au-delà des théories de comptoir, que disent les faits ?
Une étude chinoise de 2002, menée sur 28 hommes, révèle un phénomène surprenant : au septième jour d’abstinence, leur taux de testostérone a bondi de près de 145 % par rapport à leur niveau initial. Imaginez un ballon qu’on gonfle doucement chaque jour : au bout d’une semaine, il atteint une taille impressionnante, avant de se stabiliser.
Pourquoi la testostérone est-elle si importante ?
En France, on associe souvent la testostérone à la force physique ou à la virilité. Pourtant, c’est bien plus que cela. C’est un peu comme l’huile dans un moteur automobile : elle ne fait pas avancer directement la voiture, mais sans elle, tout le système fonctionnerait moins bien.
Un taux élevé de testostérone améliore non seulement la perception de soi, mais aussi l’énergie générale et l’humeur. Certaines études indiquent que les personnes ayant laissé passer une semaine sans éjaculation se sentaient plus confiantes, plus dynamiques et même plus sereines.
ADVERTISEMENT