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Une jeune fille sans-abri a trouvé un téléphone et a voulu le rendre, mais a entendu une mélodie familière à l’autre bout du fil

Dans les rues d’une petite ville oubliée, une fillette erre seule. Elle s’appelle Nathalie. Elle a huit ans – ou presque – et chaque jour est une épreuve de survie. Rejetée, ignorée, affamée… jusqu’au jour où le hasard la conduit à une découverte inattendue dans un lieu tout aussi insolite : un cimetière.

Une enfance envolée trop tôt

Avant, Nathalie avait une vie simple mais remplie d’amour. Elle vivait dans un village, entourée de la chaleur maternelle. Sa maman lui chantait une berceuse chaque soir, une mélodie douce qu’ellen’a jamais oubliée. Puis la maladie est arrivée. Et sa maman est partie… pour toujours.

Recueillie en ville par une tante, Nathalie découvre vite que l’amour ne se décrète pas. Sa tante, alcoolique et indifférente, la rejette. Elle finit par fuir, préférant la rue à la maltraitance.

Un monde sans toit mais pas sans rêves

Pendant des semaines, Nathalie survit en mendiant discrètement, en évitant les regards hostiles. Les aires de jeux deviennent ses fenêtres sur un monde normal, les buissons ses refuges. Elles’accroche à ses souvenirs. Et chaque soir, elle chante cette berceuse maternelle en guise de réconfort.

Son quotidien se partage entre cachettes précaires, comme le sous-sol d’un immeuble abandonné ou un vieux cimetière, où elle trouve un peu de paix. C’est là, au pied d’un monument, qu’un jour son pied heurte un objet inhabituel…

Un téléphone… et une voix venue du passé

Le téléphone est ancien, mais il fonctionne. Curieuse, Nathalie le manipule avec précaution. En parcourant les contacts, elle tombe sur un nom familier : Maman. Le cœur serré, elle lance l’appel. À l’autre bout du fil, pas de tonalité… mais une berceuse. La berceuse.

Elle fond en larmes.

Une voix douce répond : « Pourquoi pleures-tu, ma chérie ? »

« J’ai trouvé le téléphone », balbutie Nathalie.

C’est là qu’une série de révélations inattendues commence.

La femme au téléphone reconnaît lachanson. C’était celle qu’elle chantait à son fils. Nathalie ne comprend pas tout… mais au fond d’elle, quelque chose résonne. Une intuition.

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