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Vaccin Pfizer : comment ce père de famille a vu sa vie basculer après l’injection

Les chiffres les plus récents confirment la rareté de ce phénomène :

Aux États-Unis, la FDA recense environ 8 cas de myocardite par million de doses toutes tranches d’âge confondues.
Ce taux peut monter jusqu’à 107 cas par million chez les hommes de 16 à 29 ans, selon une étude israélienne parue dans New England Journal of Medicine.
En France, l’ANSM indique un risque évalué à 1 à 5 cas pour 100 000 doses pour les vaccins à ARN messager, toujours dans des contextes bien définis (âge, sexe, fréquence des doses).
Dans plus de 95 % des cas, la myocardite post‑vaccinale est bénigne : elle se manifeste rapidement, est diagnostiquée facilement, et se résout sans séquelle majeure après repos. C’est d’ailleurs ce que montrent les suivis publiés par le CDC américain et l’EMA européenne.

Mais pour Cédric, les choses ont été plus complexes. Trois ans après les faits, il garde des douleurs chroniques et une fatigue persistante.

« Je sais que je fais partie d’un petit pourcentage. Mais dans mon cas, ça a suffi à bouleverser toute ma vie. »

Ce qu’en disent les autorités de santé
Les principales autorités sanitaires confirment que la myocardite post-vaccinale liée aux vaccins à ARN messager, comme Pfizer, est un effet secondaire rare mais reconnu. En France, l’ANSM estime ce risque entre 1 et 5 cas pour 100 000 doses, principalement chez les hommes jeunes et souvent après la deuxième dose.

L’Agence européenne des médicaments (EMA) considère cet effet comme très rare, mais rappelle que le rapport bénéfice/risque reste largement favorable, y compris pour les jeunes adultes. Aucun retrait ni restriction du vaccin n’a été envisagé.

Aux États-Unis, le CDC et la FDA estiment que le taux de myocardite varie entre 10 et 20 cas par million de doses. La majorité des patients se rétablissent complètement après quelques jours de repos. Ils soulignent que le risque de myocardite est bien plus élevé après une infection au Covid-19 que suite à la vaccination.

En résumé, les autorités de santé recommandent la poursuite de la vaccination, tout en reconnaissant ces cas rares et en assurant une surveillance renforcée.

Conclusion : vigilance, mais pas d’alarmisme
L’histoire de Cédric illustre un effet secondaire sérieux, mais rare. Son cas rappelle l’importance du suivi médical et de la transparence dans la gestion des campagnes vaccinales.

Il le dit lui-même :

« Je ne suis pas contre les vaccins. Mais je pense qu’on aurait dû mieux informer sur les risques, même minimes. J’ai eu de la chance de m’en sortir. »

En parallèle, les données confirment que les vaccins ont sauvé des millions de vies. Le risque de myocardite après une infection Covid est nettement supérieur à celui observé après une injection.

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