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Vidéo-Exclu – Josiane Balasko : ses confidences sur le sexe et l’amour !

INTERVIEW – Faustine Bollaert a reçu Josiane Balasko dans sa cuisine à l’occasion de la parution de son livre Jamaiplu (éd. Pygmalion).

Détrompez-vous, ce n’est pas pour parler de son dernier film que Faustine Bollaert a invité celle qui peut se vanter de figurer parmi les actrices préférées des fraçais, mais pour parler de Jamaiplu, son nouveau livre, le troisième précisément (ed. Pygmalion, 260 p., 18€). Un recueil de huit nouvelles aussi trucculentes, que déjantées qui relèvent du fantastique, dans lequel Josiane Balasko fait parler les animaux, met en scène des zombies accrocs au glucose, mais parle aussi de sexe et d’orgasme nasal.

Josiane Balasko s’est confiée à Faustine Bollaert autour d’un verre de Bloody Mary et d’un de ses plat préférés, une tête de bœuf, sauce gribich, concocté par Benoit Gauthier, le chef du Grand Pan à Paris. Une recette qui n’est pas sans lui rappeler celle que servaient ses parents dans le bistro qu’ils tenaient dans le dixième arrondissement de Paris.

Femme Actuelle: Vous vous rendez compte que vous êtes une actrice culte ?
Josiane Balasko: Non, pas vraiment! Mais je sais que certains films dans lequel j’ai joué sont devenus cultes et qu’ils se transmettent de génération en génération. Certains jeunes découvrent aujourd’hui encore « Les bronzés font du ski ».

La rumeur dit qu’il y aura une suite avec Les bronzés 4, c’est vrai?
J.B: Non c’est une fake news. Personne n’a écrit la suite. Il faudrait que quelqu’un se dise « je ferais bien les bronzés en maison de retraite ou en EPHAD… »(établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes Ndlr )

Après deux romans en 2004 et 2006, pourquoi écrire treize ans plus tard ces nouvelles qui relèvent du genre fantastique,?
J.B: J’ai décidé de me lancer au fur et à mesure dans différentes histoires, sans savoir où cela allait m’emmener.

Dans ce recueil de nouvelles, vous faites parler les animaux, mettez en scène esprits et zombies accro au glucose, vous ne vous êtes donc fixée aucune limite!
J.B: En effet, je parle aussi de sexe! La littérature offre une grande liberté. L’avantage quand vous écrivez un roman c’est qu’il n’y a pas un producteur derrière vous qui dit « Non ça c’est trop cher » ou « ce n’est pas possible de conduire tes personnages dans une galaxie aussi lointaine ». Rien n’a bridé mon imagination

On retrouve beaucoup de vous dans ces nouvelles, même quand vous parlez d’extraterrestres!
J.B: Oui, comme un de mes personnage je collectionne beaucoup de choses disparates. J’ai une cinquantaine de Vallauris, ces coquillages transformés en lampes et au moins deux cents chiens en terre. Le clou de cette collec’ est un berger allemand bleu turquoise. J’accumule aussi des figurines de BD ou de films de sciences fiction, que j’ai rangées dans une vitrine, au grand dam de mes enfants qui n’avaient pas le droit d’y toucher.

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